Chaque année, des milliers de malades attendent l’organe qui leur permettra de revivre.
Chaque année, des centaines de malades meurent faute d’avoir obtenu la greffe tant espérée.
En 2018 : 21000 Malades étaient inscrits sur le fichier des demandes de greffes d’organes.
Depuis le 01 janvier 2017 la loi du don d’organes « sur la réaffirmation du consentement présumé » est en application. Mais par manque d’information sur la loi, les citoyens ne prennent pas position. Les équipes de coordinations médicales, rencontrent donc des difficultés lors des échanges avec les familles de donneurs potentiels. Les statistiques mettent en évidence que ce manque d’information rend difficile l’application de la loi, donc de l’évolution du nombre de greffes.
Donner la vie à d’autres êtres humains, après notre propre mort, c’est avoir retenu les paroles du professeur Christian CABROl, pionnier européen des transplantations cardiaques « Nous devons prendre conscience que nous sommes les seules sources d’organes et que notre corps est une richesse fabuleuse. Ne pas en faire profiter les autres est comparable à se faire enterrer avec tous ses trésors … Tout ce qui n’est pas donné est perdu ».
Donner ses organes, c’est dire: Je sais que, suite à un accident brutal, tout sera entrepris pour éviter mon décès. Mais si l’éventualité d’un prélèvement d’organes se présente, tout sera mis en oeuvre pour transmettre une nouvelle vie à un ou plusieurs receveurs .
Chaque citoyen peut éventuellement se trouver dans la situation d’être « donneur » mais aussi demandeur « receveur » pour pouvoir continuer à vivre.
Prenez position ! Informez vos proches !